Le retour de Boule-de-Poils, des mots pleins les yeux!!

Je naime <3
Bats toi Acaou:-!!!!

Bravo, j'aime beaucoup !
MAIS SIL VOUS PLAIT ARRETEZ DE FLOODER OU DE METTRE SEULEMENT "SUPER" CA FAIT DES POST POUR RIEN !
En fait oubliez, vous pouvez continuer, puisse que de toute façon quand je dis quelque chose, personne ne m'écoute,ou me lis

Mais n'importe quoi, Scinty!! Moi je lis TOUT ce qui a de nouveau (enfin, dans mes posts… :oops)

Bref, la suite:

La pluie, la nuit

On arriva dans un quartier plus chic. Onyx râlait tout le temps à cause de Jessie qui était terrifiée par le chat noir. Par contre, la chatte rousse s’était prise d’une véritable affection pour Chouquette, la plus petite de la troupe. Elle lui avait confié son rêve, avoir des chatons. Je ne m’étonnais plus de l’amitié qu’elle lui témoignait. Contrairement à ce que j’aurai cru, Jessie ne se plaignait jamais. Lorsqu’elle avait peur, elle le cachait. En outre, elle semblait être assez résistante, car elle marchait d’un bon pas. Au début, je sentais bien que Désert lui faisait peur, mais comme cette dernière était toujours gentil avec elle, elle lui accorda peu à peu sa confiance. Et elle semblait persuadée que j’étais le chef de la troupe, ce qui ne fut pas pour me déplaire ! Par contre, Onyx l’avait compris lui aussi, ce qui ne le rendit que plus abominable. Il ne manquait jamais une occasion d’apeurer Jessie, et ça marchait. La pauvre ne comprenait rien à ce qu’il lui voulait. Comme elle ne savait pas chasser, Onyx la traitait de « fardeau pour notre troupe ». Un soir, alors qu’il lui lançait à nouveau ce sobriquet, je vis rouge : « Chouquette, Bonzaï, Désert et moi-même ne savons pas chasser ! Tu ne nous l’a jamais dit ! Pourquoi t’en prends-tu à Jessie ? » Il répondit en me regardant dans les yeux : « Parce que c’est un fardeau et qu’elle ne sait rien faire.
- N’importe quoi ! crachais-je. » Jessie murmura alors :
« Mais ne vous disputez pas pour moi, je vais partir.
- Hors de question, tu restes ici, gronda Pixie. » Je me tournais vers Onyx pour voir sa réaction, mais il était parti bouder, seul, la tête tournée vers le ciel.
Le lendemain, on arriva dans les quartiers les plus riches de Paris. On remonta une grande allée bordée d’arbres verts, et pavée de pierres brunes et rouges. Lorsqu’on arriva dans un parc, Bonzaï fronça les sourcils et déclara : « On est perdus. » La respiration de Jessie se mua en halètement paniqué. Onyx haussa les épaules. Je déclarais : « On va bien trouver le moyen de repartir. »
On se dirigea vers ce qui semblait être la sortie du parc, mais ce qui n’était en fait qu’un étang. On continua dans la même direction, mais rien. On se nourrissait de ce qu’on trouvait les poubelles. Même Chouquette semblait inquiète. Lorsqu’on réussit à sortir du parc, la nuit était tombée. À la lumière jaunâtre des lampadaires, on remonta une avenue semblable à la première. On bifurqua ensuite pour se retrouver dans une autre allée. On continua longtemps dans ce labyrinthe d’allées bordées d’arbres, tandis que de lourds nuages s’amoncelaient. Il y eut un éclair, et la foudre résonna. Je marchais en regardant le ciel, de peur qu’il ne pleuve.
Soudain un chat me rentra dedans. C’était une jolie femelle au longs poils roux et soyeux, avec des pattes et le poitrail blanc. Elle avait de magnifiques yeux couleur d’ambre en amande. Tandis qu’un nouvel éclair illuminait le noir de la nuit, elle s’écria : « Espèce de maladroit ! On a pas idée de rentrer dans les gens à deux heures du matin ! Imbécile ! La prochaine fois, je ne raterais pas ! » Et elle s’en alla, la queue bien haute. Onyx me regardait avec un air narquois. Désert demanda : « Ça va ?
- Oui. » Chouquette rit : « Au moins, maintenant, on sait l’heure qu’il est ! » Je m’ébrouais, et on reprit la route, mais Onyx en avait profité pour reprendre ma place à l’avant. La guerre n’était pas finie entre nous.

Il pleuvait. C’était une pluie assourdissante, qui tranchait n’importe quel être vivant. L’eau était fraîche et portait l’odeur de la nuit, tandis que les lumières des lampadaires se reflétaient dans chaque goutte, chaque oeil, chaque feuille. Tout était humide, et nombreux étaient les escargots qui, de leur marche lente et mesurée, sortait profiter de la pluie et de la lune. L’eau ruisselait de partout, elle s’infiltrait dans les plus petits interstices entre les planches. Dans un vacarme assourdissant, elle chutait dans les rivières qui enflaient.
On s’était trouvé un abri dans une petite cavité dans un mur, mais l’endroit était aussi humide. Sans rien faire, on regardait tomber la pluie. C’est là qu’on eut la surprise de retrouver la boule de fourrure rousse et blanche, qui, elle aussi, s’abritait de la pluie. Elle dût nous reconnaître, car elle s’avança vers nous et demanda comme si de rien n’était : « Je peux rester ?
- Pourquoi ? m’écriais-je. Tu nous enquiquines, et après tu t’agenouilles pour rester ? On ne te connaît pas, et tu ne m’as même pas demandé pardon !
- Et avant de former votre groupe, vous ne vous connaissiez pas ? persifla-t-elle, ironique. C’est bon, j’étais énervée, fatiguée parce que je venais de m’enfuir, et j’ai réagi brutalement.
- Oui, ben j’espère que tu ne réagis pas brutalement tous les jours ! grommelais-je. » Mais Pixie s’écria : « Tu t’es enfuie ? Alors, là, oui, il faut que tu restes, je n’en connais pas beaucoup des chats qui en ont eut le courage ! » La chatte sourit : « Je m’appelle Milly. »

À suivre…

Bonne lecture,
Boule-de-Poils

Onyx, spèce de méchant!!!

mouai bien dit plouchy ^^

Conciliabule

Pixie avait eu l’idée d’aller chez un poissonnier. Alors que Désert et Onyx étaient partis chercher à manger, il nous avait pris à part. On s’était assis en cercle autour de lui, et il nous avait expliqué son idée : « On se dirige mine de rien vers le poissonnier sans se faire voir, Jessie arrive, elle ronronne pour se faire caresser, et pendant qu’il la caresse, hop ! on prend tout. » Bonzaï réfléchissait, je voyais bien que l’idée ne lui plaisait pas trop. Il prit la parole : « Pixie, je comprends que tu veuilles voler des poissons, mais les humains sont peut-être en relation avec la chatterie. Ton idée n’est pas mauvaise, mais cela peut être dangereux. Je ne voudrais pas qu’on se retrouve tous en prison. » Pixie se tourna vers moi. « Acajou ?
- Euh… je pense que Bonzaï a raison, murmurais-je gêné. » Il y eut un silence. Pixie, dépité, s’était assis. J’aurais dû me sentir joyeux car Pixie m’avait demandé mon avis, mais il n’en était rien. Je sentais bien qu’il était déçu. À ce moment, je sentis une odeur de chat. Je me retournais, sur le qui-vive, mais ce n’était que Désert et Onyx qui nous dévisageaient. Je compris alors combien on avait dû paraître grossiers. Je m’élançais vers eux : « On discutait. Pixie avait proposé de voler du poisson au poissonnier, mais finalement, on a abandonné l’idée. » Désert se secoua et hocha la tête en souriant. Onyx, quand à lui, se détourna sans me regarder. Je l’entendis murmurer : « C’est ça, oui… »
On reprit la route après avoir mangé, mais lorsque je sentis le regard inquisiteur d’Onyx, un frisson me parcourut.

* * *
C’était l’automne. Les arbres s’étaient teintés de rouge et de brun, et un épais tapis de feuilles mortes recouvrait en permanence le sol. C’était sans doute plus facile pour chasser, car le feuillage tombé étouffait nos pas. Milly s’était parfaitement intégrée au groupe, et la bousculade de notre rencontre n’était plus qu’un mauvais souvenir. Jessie s’était beaucoup attachée à elle, car la jolie chatte s’était enfuie parce qu’elle avait envie de voir le dehors, mais elle supportait très bien les hommes. Chouquette restait souvent avec elles, et j’en ressentis une pointe de jalousie. Pixie avait accepté sans problème le fait que nous ayons refusé de suivre son plan. Onyx me cherchait moins la petite bête, et Désert était toujours agréable. Bonzaï ne faiblissait pas. Bref, c’était parfait…

À suivre…

Bonne lecture
Boule-de-Poils

j'y croi pas ........... whoow

J'ai pas eu le temps de tout lire mais le début est déjà génial !!! bravooo !!! Je lirai la suite quand j'aurais le temps promis ^^

je kiffe euhhhhhhh oui c'est trop bien la suite

moi aussi

Ouais! Vive les amies! Cool…
Euh, pardon… <---- Boule-de-Poils se tapant un big délire!!



L’attaque

J’avais besoin d’être seul. Aussi m’étais-je un peu éloigné de l’endroit où nous avions dîné. Je regardais longuement la lune. Sa présence m’apaisait. De lourds nuages se massaient autour d’elle, et quelques-uns la traversaient, mais sa luminosité ne baissait jamais. Loin en dessous d’elle, une infinie étendue de champs se reposaient dans sa lumière teintée de bleu… J’apercevais au loin quelques arbres, et plusieurs fermes blanchies par l’éclat de la lune. Le froid de la nuit me transperçait, mais je n’en souffrais pas trop. On apercevait une ou deux étoiles, mais les nuages les cachaient la plupart du temps.
Je pensais à mes compagnons. Chouquette, la plus joviale, Pixie, beau parleur, Bonzaï, qui ne faiblissait pas, Désert, gentille malgré son allure, Onyx, détestable en tout, Jessie, un peu apeurée par le monde, Milly, magnifique chatte si fière, et moi, futur chef de troupe. Je souris.
C’est à ce moment-là que j’entendis un cri de douleur suivit d’une cavalcade. Un peu inquiet, je me décidais à rentrer au camp. Cette voix… je la connaissais ! C’était celle de Bonzaï ! Je courais à toute allure.
Un cri de guerre retentit, et c’était Pixie. Puis j’entendis les bruits caractéristiques d’une bataille. Mais oui ! Bonzaï était de garde, il avait sûrement été frappé ! Sur ces entrefaites, j’arrivais au camp.
Je ne le reconnus pas. On avait, avant le combat, installé plusieurs litières en cercle, de façon à ce que chacun puisse se voir. Les fougères qui avaient servi de matelas avait été projetées un peu partout. Un grand rocher servait de refuge à Jessie, Chouquette et Milly. Chouquette tout contre elle, Jessie tremblait de tous ses membres, fermait les yeux et se crispait lorsqu’un chat adverse montrait les crocs, tandis que Milly crachait furieusement sur la tête du moindre chat qui avait le malheur de croiser son chemin. Pixie se battait comme un lion, et, même s’il m’en coûtait de l’admettre, Onyx aussi. Poussant un cri de rage, je me jetais dans la bataille, tentant vainement de copier maladroitement les gestes impulsifs de Pixie. Peine perdue ! J’avais beau cracher et tenter de griffer mon adversaire, il esquivait toujours l’attaque, pour me rendre la pareille… en réussissant ! Bientôt j’étais couvert de bleus, de griffures et d’éraflures, et mes articulations me faisaient mal. Mais, pour une raison que j’ignorais, les chats errants ne poursuivirent pas leur attaque. J’entendis un sifflement, et ils repartirent la queue bien droite. Le calme revint sur le camp, à l’exception du halètement incessant de Pixie qui soufflait comme un bœuf. C’est alors qu’un effluve me parvint. C’état une puanteur acre, qui me glaçait le sang. L’odeur venait de partout, de chaque chat, y compris moi, c’était le sang qui coulait. Milly serrait sa patte contre elle, grimaçante, et refusant que Désert l’examine. Un peu inquiet, je m’avançais. « Ça va ? demandais-je.
- Bien sûr que non, triple souris ! répondit-elle avec véhémence. » Un peu choqué, je reculais. Milly grommelait en serrant les dents de douleur. Un morceau de verre provenant de la décharge semblait s’être enfoncé profondément dans le membre. Des filets de sang s’écoulaient, et une flaque pourpre s’élargissait sous la peau. Jessie déclara : « Il faut arrêter l’hémorragie. » Mais la jolie chatte s’écria d’une voix rauque : « N’y touche pas ! Tu vas me faire souffrir ! 
- Soit c’est une idiote, soit elle est simple d’esprit ! marmonna Pixie, mécontent. » Milly semblait en effet terrifiée à l’idée qu’on touche sa blessure. Mais elle blanchissait de minute en minute, et j’étais affolé à l’idée de la voir s’affaiblir sans qu’on puisse rien faire. Heureusement, Désert s’y connaissait un peu en médecine, car elle avait eu un maître médecin. Malgré les protestations de la malade, la sphinx s’approcha. Elle essaya d’immobiliser la chatte, mais sans y parvenir. Je disais alors à la blessée de ma voix la plus douce : « Milly, je comprends que tu aies mal, mais il faut que laisse Désert t’examiner, ou tu souffriras encore plus.
- Allez-y, souffla la chatte, épuisée, faites ce que vous voulez, découpez-moi en morceaux si vous le souhaitez, de toute façon je vais mourir. » Haletante, elle détourna la tête et ferma les yeux. Sa respiration se fit plus régulière, et elle s’évanouit, ou s’endormit, je ne saurais. Je ne vis pas ce que fis Désert, mais j’entendis nettement le cri de douleur de la jolie chatte, et je grimaçais en voyant quelles souffrances elle avait dû endurer : le « médecin » avait arraché le bout de verre sanguinolent. Elle le jeta au loin, et entreprit de rincer les fougères qui avaient servi de matelas, avant de les attacher pour former une sorte de bandage rudimentaire. Désert soupira, avant de murmurer : « Elle a besoin de repos, je pense. J’espère que la plaie va bien cicatriser. En tout cas, interdiction de marcher pendant longtemps. » Elle se secoua, et s’exclama : « Bien, aux suivants ! » Mais bien sûr ! Avec la blessure de Milly et son entêtement, j’avais presque oublié mes morsures et mes griffures ! J’en fus déçu. Moi qui avais espéré retourner bien vite me coucher, il fallait encore s’occuper de Bonzaï et de mes autres compagnons. Malgré mon désir de dormir, ce ne fut que vers deux heures du matin que je pus enfin aller sur un matelas moelleux, et sombrer dans un sommeil réparateur.

***

Le lendemain matin, je proposais qu’on fasse le point. « Tout d’abord, moi, je me suis éloigné pour me reposer dans l’air frais du soir. Ensuite, j’ai entendu un cri de haine, et les chats errants ont attaqué le camp. Je suis arrivé, on les a repoussés, et maintenant, Milly est blessée. Voilà. Vous y comprenez quelque chose, vous ? » Gêné, je me rendis soudain compte que tous les regards convergeaient vers moi. J’eux l’impression que le ciel me tombait sur la tête, lorsque Chouquette dit d’une voix douce : « Acajou, il faut reconnaître que tu es le suspect numéro un."

À suivre…

Bonne lecture,
Boule-de-Poils

j'adore

bébé d'amour, je viens de te dire: tu ne peux peux pas poster un message qui fait deux mots ! "moi aussi", "j'adore"
lalalalilou traliloulala //POING//

Euh… j'ai pas trop compris, là………
Pourquoi tu as mis:

Citation :

lalalalilou traliloulala //POING//

C'est zarb…

Bah non, ça veux dire tout va bien lalala continue de poster tes magnifiques histoires !

je ne comprend pas tout

AAAAAhh! merci beaucoup, Scinty!!!!! Michi!!!!


La disparition

C’était le matin. Le soleil était un tantinet timide, et, les yeux mi-clos, je rechignais à me lever. Mes pattes engourdies ramenées sous mon museau, c’est avec confusion que j’entendis des cris alarmés : « Chouquette, Bonzaï et Onyx ont disparu ! » Cette fois, je me redressais sans attendre ; mes amis étaient en danger ! Même si la disparition d’Onyx me faisait plaisir, je ne pouvais pas laisser des chats en danger ! Une idée germa soudain dans mon esprit : et si l’auteur de ce rapt n’était autre qu’Onyx ? Mais je sentis mes moustaches se contracter sous l’effet de la honte. Sous prétexte que je détestais le musculeux chat noir, je le rendais responsable de tous les mots de la Terre ! Non. Cela ne tenait pas debout. Mais la voix de Pixie me tira de mes réflexions : »Acajou, remue-toi, bon sang ! Tu n’as aucune idée du lieu où ils auraient pu aller ? » Jessie murmura d’une voix timide : « Ils n’auraient pas pu aller chasser ?
- Onyx, oui, mais certainement pas Chouquette et encore moins Bonzaï ! » C’était vrai. L’image du vieux chat courant après une musaraigne m’aurait fait sourire si les circonstances n’étaient pas aussi tragiques. « Voyons, calmons-nous, dis-je d’une voix que je voulais assurée. N’y aurait-il pas un anniversaire dans les jours à venir, un cadeau à trouver ? »
Même si cette idée me paraissait peu probable, il ne fallait en négliger aucune. Désert remua la tête d’un air catégorique, et ses yeux en amandes me scrutèrent avec insistance. Un peu mal à l’aise, je continuais : « Il faudrait qu’on crée plusieurs équipes de recherches. Jessie, tu resteras avec Milly qui ne peut pour l’instant pas bouger. » Je craignais un feulement agressif de la part de la jolie chatte, mais elle se contenta de hocher la tête calmement. Je souris, et, à présent plus sûr de moi, je continuais : « Pixie, peux-tu te diriger seul vers la ville ? » Il grogna et se leva. « Bien, ensuite, Désert et moi, on va vers la campagne. Est-ce que tout le monde est d’accord ? 
- Tu ne nous laisse pas vraiment le choix, persifla Pixie. »
Même si je ne m’en était pas rendu compte, le gros chat comptait beaucoup pour moi. Aussi fort que Chouquette. L’idée que notre amitié disparaîtrait à cause d’un crime dont je n’étais même pas coupable me démoralisait. Je me promettais de trouver le véritable coupable et de le dénoncer sans plus tarder. Mais l’idée qu’un de mes compagnons puisse être fautif me perçait le cœur.

Nous marchions depuis plus d’une heure. Désert m’avait toujours apprécié, mais pourtant, elle était plus froide, distante qu’avant. Elle sursautait au moindre bruit, était nerveuse. Sa queue tressaillait sans cesse. Elle se parlait à elle-même sans arrêt, et lorsque je lui demandai d’une voix douce : « Qu’est-ce qu’il y a ? », elle cracha sèchement : « Rien ! »
Un peu froissé, je pensai soudain qu’elle devait elle aussi me mépriser, car elle pensait que j’étais fautif.
De plus, nos recherches ne donnèrent rien du tout. Bonzaï, Chouquette et Onyx avaient disparu. Ils s’étaient évaporés, et c’est le cœur lourd que je rentrais au camp, la queue basse.
Je n’avais plus d’amis.

À suivre…

Bonne lecture,
Boule-de-Poils

aaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhh la suite tout de suite sinon

LA SUITE LA SUITE !!!!

oké, oké… Y a pas le feu… du moins, je crois pas… ^^

« C’est de la faute d’Acajou… »

La tête et la queue basses, j’expliquais à mes amis tous nos efforts non aboutis. Pixie dit de sa voix habituelle que lui non plus n’avait rien trouvé. Cette voix m’avait mis du baume au cœur ; est-ce qu’il m’avait pardonné ? Mais je compris qu’il n’en était rien, car il s’adressait à Désert, et non à moi. Lorsqu’il me jeta un regard dédaigneux, je faillis éclater en sanglots. C’était stupide. Pour un futur chef… Soudain, la réalité m’apparut, évidente : je ne resterais pas longtemps avec de braves chats qui me prenaient pour un traître ! Voilà. Même mon rêve s’effondrait. Onyx prendrait ma place, je serais banni… Non. Il en était hors de question. Si je partais, ce serait pour une faute que je n’avais pas commise. Je me devais de retrouver le coupable, qui, sans doute, profiterait que les autres me prennent pour un chat vil et malhonnête. Il fallait que je retrouve le forban, pour le bien de la troupe.
J’en étais là de mes réflexions, lorsque j’entendis des cris hurlants, qui me firent dresser les poils sur la nuque. Les chats errants revenaient vers nous ! Désert était restée debout, ce qui ne m’avait pas cessé de m’étonner. Pixie se leva d’un bond, et, contre toute attente, il se dirigea vers moi. « Tu es lâche, sans pitié, et cruel, Acajou. Tu me déçois. » Il me cracha dessus et partit au galop. Je le suivis, le cœur plus lourd qu’une pierre.

Le plus dur fut que Milly tint l’allure. Avec sa patte blessée, elle ralentissait, et nous étions obligés alors de freiner pour l’attendre. Elle grognait à chaque fois, et, alors que je tentais de l’aider, elle me lança un regard furibond. Une fois de plus, je me rappelais que je n’étais, à leurs yeux, qu’un assassin lâche et cruel.

Un cri de chat errant me ramena à la réalité. Il était à deux doigts de me mordre la queue, et je dus accélérer.
Je ne comprenais rien à ce soudain revirement. Pourquoi donc les chats errants revenaient-ils nous poursuivre ?
J’avais quelques soupçons les concernant. Si, effectivement, ils étaient coupables, pourquoi se faire rappeler ? Lorsqu’on commet un crime, on a plutôt tendance à se faire disparaître. Pourquoi diable nous rappelaient-ils si soudainement qu’ils étaient là et qu’ils pourraient être coupables ?
Cette poursuite si étrange cachait un plan. Mais lequel ? Etions-nous en danger ?
Je frissonnais dans la chaleur de l’été, et mon cœur fut pris d’un sombre pressentiment.

À suivre…

Bonne lecture,
Boule-de-Poils

la suite , jadore , plus tard je te vois bien écrivain

ouai moi aussi mais je voulais voulez pas te le dire je pensé que sa aller d
te vexer je suis bête

MAIS NON

je parle a boulette dsl BB

a dacore